C'est toujours mieux chez les autres , chez moi pas assez ci pas assez çà
les yakas les fauques ne me lâchent pas et la tour infernale de l’ego est
difficile à prendre d'assaut. J'ose donner(pas toujours) à Dieu mes erreurs
mes tourments, mes bassesses ce que je ne trouve pas beau du tout afin enfin
de me pardonner. Dès que je me sens plus propre, un peu plus libre de mon
image, et que le fait de m'accepter devient presque naturel je me surprend
à voir les autres avec un peu plus de bienveillance.
"Je n'aime pas une image de mon fils, je l'aime lui."dit Alexandre Jollien
et là je sens tout le poids de ces mots et leurs puissances
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