Accepter que nous ne guérirons peut-être jamais de nos carences ni de nos plaies, assumer que les coups du passé peuvent hanter une âme pour nous
ouvrir aux dons du jour et, pourquoi pas, les partager. Voilà à peu près tout ce que nous pouvons faire !
Le Philosophe nu Alexandre Jollien
Merveilleux! J'avais besoin d'entendre cela aujourd'hui!Merci Ami!
RépondreSupprimerA défaut de se parler de se voir que c'est bon,
Supprimernourrissant de pouvoir se lire ou s’écrire de
se sentir uni "aux autres"dans cet élan commun qu'est
la compassion.