Tout petit déjà j’avais perdu mon conteur, celui qui parait-il vous fabrique des histoires sur mesure avec des vrais débuts et surtout des fins qui enchantent les cœurs désenchantés.
Ma conteuse ne racontait pas, elle était la poésie du quotidien la gardienne de ses bonnes pousses.
Oui, j’ai cru aux histoires des autres toutes si belles si colorées et enivrantes, et voilà le chemin s’arrête pour moi, je suis comme un orphelin sans histoire.
Je ne sais pas pourquoi mais il ya un jour qui n’est pas comme les autres un livre vous prend dans ses bras puis un autre, encore un et l’histoire reprend ses droits.
Je suis triste, j’ai peur, mon passé ne ressemble plus au passé, l’espace m’inquiète, le temps change. Dans cette tourmente, ô tristesse, je vois aussi que les adultes nous racontaient des histoires... La grenouille veut se faire plus grosse qu’un bœuf, vanité, que du vent….
Je ne se sais que dire.... derrière l'ennui, le mystère de la vie, du soleil qui se lève et qui se couche, la mort et la renaissance, il y a quelque chose... n'est-ce pas ce que l'on dit ? De beaux jours nouveaux pour toi, devant toi.. Sylvie
RépondreSupprimerPas si facile d'être libre du passé
SupprimerLibre de mon histoire
Libre de moi
Génial ton passage
Génial la musique sur ton blog
Aux Revoirs